Voici le conte la Belle et Notre Bete a imprimer en pdf Afin de la lecture avec votre enfant. Mes enfants adorent les contes et la lecture du apri?m, voila donc un nouveau conte a imprimer et a lire avec ce enfant. Le conte de fees la Belle et la Bete est illustre de dessins en couleur et de dessins a colorier. Imprimez le conte et redecouvrez la belle histoire d’la Belle et la Bete ecrite par les freres Grimm
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Belle, J’ai plus belle fille du marchand
Il y avait un coup dans un hameau, un marchand tres riche qui avait six enfants, trois garcons et trois filles. Le marchand fit bien pour que ses enfants recoivent la meilleure education possible. Ses meufs etaient tres bonnes ; mais la plus belle de toute etait la cadette. Des une plus tendre enfant on prit l’habitude d’appeler la petite Belle Enfant. Ce nom lui resta ce qui causa beaucoup de jalousie a ses soeurs.
Belle est non seulement la plus belle mais elle etait aussi la meilleure des trois filles. Mes deux ainees avaient nombre d’orgueil, parce qu’elles etaient riches ; elles faisaient les dames, et ne voulaient gui?re recevoir les visites des autres meufs de marchands. Mes s?urs de Belle n’acceptaient que des personnes de qualite pour leur compagnie. Elles allaient l’ensemble des jours au bal, a Notre comedie, a la promenade, et se moquaient de leur cadette, qui employait la plus grande partie de son temps a lire de bons livres. Comme on savait que ces meufs etaient fort riches, quelques gros marchands les demanderent en mariage ; mais les deux ainees repondirent qu’elles n’epouseraient qu’un duc, ou tout au moins, 1 comte.
Notre Belle remercia ceux qui voulaient l’epouser, mais elle leur devoile qu’elle etait trop petit, ainsi, qu’elle souhaitait tenir compagnie a son pere, pendant des annees encore.
Le pere de Belle perd sa fortune
Suite a un coup du sort, le marchand perdit son bien, ainsi, il ne lui resta qu’une petite maison de campagne, bien loin des rues. Cela devoile en pleurant a ses bambins qu’il fallait aller demeurer dans votre maison, et qu’en travaillant tel des paysans, ils y pourraient vivre. Ses 2 meufs ainees repondirent qu’elles ne voulaient gui?re quitter la ville, et qu’elles avaient diverses amants qui seraient trop heureux de les epouser, quoiqu’elles n’eussent environ fortune. Mes bonnes demoiselles se trompaient ; leurs amants ne voulurent plus nos regarder quand elles furent pauvres. Comme personne ne des aimait, a cause de leur fierte, on disait : « Elles ne meritent jamais qu’on les plaigne ; nous sommes bien aises de voir leur orgueil abaisse ; qu’elles aillent faire des dames, en gardant nos moutons. » Neanmoins,, en meme temps, tout un chacun disait : « Pour Notre Belle, nous sommes bien faches de le malheur ; c’est une si bonne fille ! elle parlait a toutes les pauvres internautes avec tant de bonte, elle etait si douce, si honnete ! » Il y eut meme plusieurs gentilshommes qui voulurent l’epouser, quoiqu’elle n’eut nullement un sou ; mais elle leur evoque, qu’elle ne pouvait se resoudre a abandonner son pauvre pere dans le malheur, et qu’elle le suivrait a Notre campagne pour le consoler et l’aider a bosser. La pauvre Belle avait ete bien affligee de perdre sa fortune ; mais elle s’etait evoque a elle-meme : « au moment oi? je pleurerai, mes larmes ne me rendront pas mon bien ; il faudra tacher d’etre heureuse sans fortune. »
Quand ils furent arrives a un maison de campagne, le marchand et ses trois fils s’occuperent a labourer la terre.
La Belle se levait a quatre heures du matin, et se depechait de nettoyer domicile et d’appreter a diner pour la famille. Elle eut d’abord beaucoup de peine, car cette dernii?re n’etait jamais accoutumee a travailler comme une servante ; mais, au bout de deux mois, elle devint plus forte, et Notre fatigue lui donna une sante parfaite. Di?s que i§a avait fait le ouvrage, elle lisait, elle jouait du clavecin, ou encore elle chantait en filant. Ses 2 soeurs, au contraire, s’ennuyaient a J’ai mort ; elles se levaient a dix heures du matin, se promenaient toute la journee, et s’amusaient a regretter leurs beaux habits et nos compagnies.
– Voyez une cadette, disaient-elles, entre elles ; cette dernii?re a l’ame si basse et si stupide, qu’elle est contente de sa malheureuse situation. Notre bon marchand ne pensait jamais comme ses filles ; il savait que la Belle etait brillante ; il admirait la vertu de cette jeune fille, surtout une patience ; car ses soeurs, non contentes de lui laisser faire tout l’ouvrage d’une maison, l’insultaient a tout moment. Il y avait un an que une telle famille vivait dans votre solitude, Quand le marchand recut une lettre avec laquelle on lui mandait qu’un vaisseau sur lequel il avait des marchandises venait d’arriver heureusement. Cette nouvelle faillit faire tourner la tete a ses deux ainees, qui pensaient qu’a la fin elles pourraient quitter cette campagne ou elles s’ennuyaient tant. Au moment oi? elles virent un pere pret a partir, elles le prierent de leur apporter des robes, des palatines, des coiffures, ainsi, toutes sortes de bagatelles. J’ai Belle ne lui demandait que dalle ; car cette dernii?re pensait en elle-meme que bien l’argent des marchandises ne suffirait pas pour acheter ce que ses soeurs souhaitaient.
Tu ne me pries aucune t’acheter quelque chose, lui devoile le pere.
Puisque vous avez la bonte de penser a moi, lui dit-elle, je vous prie de m’apporter une rose, etant donne qu’il n’en vient point ici. Ce n’est jamais que la Belle se souciat d’une rose, mais elle ne voulait pas condamner par le modi?le la conduite de l’ensemble de ses soeurs, qui auraient devoile que c’etait pour se distinguer, qu’elle ne demandait que dalle.
Notre bonhomme partit ; mais, lorsqu’il fut arrive, on lui fit votre proces pour ses marchandises, et, apres avoir eu de nombreux peine, il revint aussi pauvre qu’il etait auparavant.
Le pere de Belle au chateau en Bete
Il n’avait plus que trente milles pour arriver a sa maison, ainsi, il se rejouissait deja du plaisir d’observer ses enfants ; mais comme il fallait passer un grand bois, avant de reperer sa maison, il se perdit. Il neigeait horriblement ; le vent est si grand, qu’il le jeta deux ce formulaire de contact fois en bas de le cheval.
Notre nuit dit venue, il pensa qu’il mourrait de faim et de froid, ou qu’il pourrait i?tre mange par des loups, qu’il entendait hurler autour de lui. Tout d’un coup, en regardant au bout d’une longue allee d’arbres, il vit une grande lumiere, mais qui paraissait bien eloignee. Il marcha de votre cote-la, et vit que votre lumiere sortait d’un grand palais, qui etait bien illumine.
Le marchand remercia Dieu du secours qu’il lui envoyait, ainsi, se hata d’arriver a votre chateau. Cela fut beaucoup surpris de ne trouver personne au sein des lei§ons. Le marchand attacha son cheval dans l’ecurie, et marcha vers la maison, ou il ne trouva personne. Il entra dans une grande salle et il y trouva un delicieux feu et une table chargee de viande, ou il n’y avait qu’un couvert.