DRAGUE – J’ai seduction et Notre drague ont beau evoluer, certaines remarques restent beaucoup ancrees.
A commencer par ce fameux “premier nullement” orchestre avec l’un des https://datingmentor.org/fr/rencontres-lutheriennes/ deux protagonistes: neuf femmes sur dix preferent encore que celui-ci soit a l’initiative des hommes, d’apres une etude Ifop pour Love Advisor devoilee votre jeudi 9 septembre.Realisee aupres d’un echantillon de 1001 dames, representatif de la population feminine agee de 18 annees et plus residant en France metropolitaine, votre etude montre que nos Francaises s’affranchissent petit a petit des idees recues sur la drague.
DRAGUE – Notre seduction et J’ai drague ont excellent evoluer, quelques idees restent bien ancrees.
A commencer via ce fameux “premier jamais” orchestre avec l’un des deux protagonistes: neuf femmes sur dix preferent bien que celui-ci soit a l’initiative des hommes, en fonction de une etude Ifop pour Love Advisor devoilee ce jeudi 9 septembre.Realisee aupres d’un echantillon de 1001 dames, representatif d’la population feminine agee de 18 annees et plus residant en France metropolitaine, une telle etude montre que des Francaises s’affranchissent petit a petit des idees recues sur la drague. Elles seront ainsi 77% a tomber sur normal qu’une femme prenne l’initiative d’un rendez-vous, soit 7% En plus qu’en 1994.“Cette evolution ne devra neanmoins pas masquer les disparites qui emaillent l’opinion feminine: on constate ainsi un ecart generationnel et social. Mes trentenaires adherent davantage a J’ai prise d’initiative feminine (84%) que leurs ainees ou que des plus jeunes, generalement plus timides car moins experimentees (72%)”, nuancent les auteurs du rapport.De fait, elles restent tres grandes a penser que Quelques comportements paraissent bien l’apanage des hommes. Deux tiers d’entre elles (66%) estiment qu’un homme doit ouvrir la a a une femme lorsqu’il rentre dans une piece avec elle. Environ la moitie (58%), qu’un homme devra laisser la banquette a une femme lorsqu’il est au restaurant ou dans un bar avec celle-ci. Partage de l’additionLes avis paraissent quelque peu plus partages concernant le partage de l’addition. Une copine via deux (51%) juge que c’est le role de l’homme de la payer au cours du premier rendez-vous et tout autant estiment que c’est normal que ces dames paient au cours du premier rendez-vous (49%). “Les Francaises expriment des opinions plus ‘conservatrices’ s’agissant du respect des regles de galanterie (…) il y a ici un vrai ‘gap’ generationnel entre des jeunes plus emancipees, et nos plus agees tres marquees par ces codes regissant nos rapports hommes/femmes”, est-il note au sein d’ l’etude.Certaines idees remportent moins de suffrages mais temoignent quand meme de l’etat d’esprit conservateur des jeunes femmes. 18% seront Par exemple d’accord avec l’idee qu’une soeur draguant un homme a quelque chose de deplace. Et 17% se disent qu’une femme qui prend l’initiative en matiere de seduction ne cherche gui?re une relation serieuse.Toutefois, preuve de l’evolution des mentalites, une grande part de Francaises dejouent un tantinet les pensees recues. Deux tiers des dames (63%) affirment avoir deja fera le premier gui?re. Un tiers (35%) indique avoir deja drague votre homme ou une femme qui leur plaisait dans une fete ou une soiree privee en famille. Au total, neuf jeunes filles sur dix (89%) ont deja drague une personne, peu importe la zone (fete, bricolage, internet, etc.).Manque de confiance, timiditeLes raisons Afin de lesquelles quelques jeunes filles n’ont jamais drague qui que votre soit de maniere ouverte ou directe seront d’abord le manque de confiance en soi et la timidite (49%), la peur d’etre rejetee (42%), la crainte d’etre percue avec les hommes comme une “fille facile” (35%).Pour Louise Jussian, de l’Ifop, “cette etude nous revele Par exemple que les normes de seduction sexistes sont encore ancrees dans l’imaginaire, y compris feminin. Notre ‘seduction a Notre francaise’ incarnee dans les regles de galanterie semble encore occuper une grande place au sein des representations associees a la seduction, en particulier au sein des rapports heterosexuels”. Meme si, en fonction de, en pleine ere post #MeToo, “une friction emerge entre une adhesion persistante aux regles desuetes de galanterie et les indices encourageants d’une prise pose i ci?te feminine”.A voir egalement sur Le HuffPost: Pendant le confinement, il redouble d’ingeniosite pour seduire sa voisineLIRE AUSSI:Le harcelement de plage, avec les femmes qui le viventComme un magasin, la plage n’echappe jamais au harcelement